:51:01
C'est le contestataire de la ville.
Une terreur, depuis son enfance.
:51:06
Lance, imbécile!
:51:09
Comment pouvez-vous le juger
sans preuves?
:51:12
Il s'est évadé.
C'est une preuve, non?
:51:16
Même un philosophe comme vous
doit l'admettre.
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Assez de base-ball pour aujourd'hui.
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- Vous partez?
- J'ai du travail.
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Dommage.
:51:28
Bonne chose, le base-ball.
On oublie les soucis du tribunal.
:51:34
Cette place m'est réservée.
Si vous voulez en profiter...
:51:42
Vous jouez bien.
Où avez-vous appris?
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Mon père. Le travail le gênait.
:51:49
Il préférait les échecs
et les discussions.
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Vous êtes plein de ressources.
:51:57
Un été agréable s'annonce.
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- Echec au roi.
- Voyons!
:52:13
Merci pour les pantoufles.
Je me sens mieux.
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J'en suis content.
:52:27
- Une maison agréable.
- Je suis bien contente, Joseph.
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Vous avez entendu cet idiot
de Grunstadt?
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Oui, incroyable!
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Joseph, le juge était à côté
de nous au stade.
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- Un homme charmant, je crois.
- C'est un idiot.
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Juger une affaire
sans toutes les preuves.
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Imposteur prétentieux.
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- C'est contraire à vos règles.
- Evidemment.
:52:59
Qu'allez-vous faire?