1:10:00
Assez important
pour qu'ils y laissent leur peau.
1:10:04
Mais quel genre de travail ?
Et avec qui ?
1:10:09
Avec qui, messieurs ?
1:10:18
Que diriez-vous
à notre grand humaniste...
1:10:21
ce disciple fervent
de l'amour fraternel...
1:10:24
l'inventeur de notre
nouveau gaz asphyxiant ?
1:10:29
Que diriez-vous, mes amis...
1:10:31
au professeur Otto Krosigk ?
1:10:35
Oui, Herr Reimann.
1:10:38
Bien sûr, vous pouvez venir.
Pas du tout.
1:10:41
Nous en serons ravis.
Au revoir, Herr Reimann.
1:10:49
- Que veut Reimann ?
- Il arrive.
1:10:52
Je suis inquiet, Otto.
Il te soupçonne.
1:10:55
- On nous observe.
- Allons, ma chérie.
1:10:57
Il n'y a rien d'extraordinaire à ça.
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Aujourd'hui, en Allemagne,
on observe même les observateurs.
1:11:05
Ce soir, recevrais-tu
le chef de la police...
1:11:09
ces officiels du parti nazi...
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et ces officiers de la garde d'élite,
si tu n'y étais pas obligé ?
1:11:16
- Ils te soupçonnent, Otto.
- Laisse-les faire.
1:11:18
Et s'ils me fouillaient,
soupçonneraient-ils...
1:11:23
ce billet de banque ?
1:11:24
- Laisse-moi le garder.
- Non, chérie, je dois le garder sur moi.
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Je ne sais pas où et quand
je pourrai rencontrer... Byrd.
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Et si Byrd ne vient pas ?
1:11:35
S'ils l'avaient pris et envoyé un autre
homme à sa place pour te piéger ?
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Ils ne me piègeront pas.
Si un autre que Byrd arrive...
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je n'aurai rien à faire avec lui.
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Arrête de t'inquiéter, veux-tu ?
Viens.
1:11:48
Retournons voir nos invités.
1:11:56
Que faites-vous ici ?
Je vous ai dit de partir.
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- Tu as pu voir cet homme ?
- Non, il y a trop de gens. Partez.