:28:01
Vous là ! Max, je ne sais plus quoi.
Que font mes affaires ici ?
:28:07
Je vous parle. Toutes mes affaires
sont dans la chambre.
:28:11
Naturellement. C'est moi
qui les y ai mises.
:28:15
Vraiment ?
:28:17
Qu'y a-t-il ? Quelque chose manque ?
:28:20
Qui vous a demandé de le faire ?
:28:22
Moi. Je ne vois pas pourquoi
ça vous gêne.
:28:26
Arrête de jouer, Max.
:28:28
Ça me paraît être une bonne idée
si nous devons travailler ensemble.
:28:33
Sur votre scénario.
:28:35
- On n'a jamais parlé
de m'installer ici.
- Vous vous y plairez.
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Merci pour l'invitation.
Mais j'ai un appartement.
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Vous devez trois mois de loyer.
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- Je vais régler ça.
- C'est réglé, tout est payé.
:28:50
Vous le déduirez de mon salaire.
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Ne soyons pas mesquins.
On ne va pas jouer les comptables.
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Max, va déballer
les affaires de M. Gillis.
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C'est déjà fait, madame.
:29:02
Remballez-les. Je ne reste pas !
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Décidez-vous.
Vous voulez ce travail ou pas ?
:29:12
Je voulais le travail,
:29:14
et l'argent
et m'en aller très vite.
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Je me disais qu'en m'y mettant,
j'aurais fini en deux semaines.
:29:22
Mais trouver une cohérence
:29:25
dans ses visions délirantes
n'était pas simple.
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C'était encore plus difficile
avec sa surveillance constante,
:29:32
sa crainte de me voir
abîmer sa précieuse création.
:29:43
- Qu'est-ce que c'est ?
- Une scène que j'ai jetée.
:29:47
Quelle scène ?
:29:49
Le marché aux esclaves.
Il vaut mieux passer à...
:29:52
Vous me coupez ?
:29:55
Ça fait trop. Vous ne pouvez pas
être de chaque scène.
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Et pourquoi m'écrit-on toujours