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à la réalisation de ce qu'elle voyait
comme un simple remake.
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Mais Stevens parvint
à les persuader qu'il n'en serait rien.
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Ici, on entraperçoit
le monde d'où il vient,
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et le fossé qui le sépare du monde
où il essaie d'entrer.
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Il est probable qu'en déplaçant
cette histoire dans I'après-guerre,
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Ia possibilité qu'un homme aussi
pauvre réussisse une telle ascension
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devenait plus crédible,
plus envisageable,
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qu'elle ne I'était à I'époque
où se passe le livre de Dreiser.
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Ivan, je crois que tu es d'accord
pour dire
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qu'Elizabeth Taylor était alors
la plus belle femme du monde.
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Sa beauté stupéfiante
sert très bien le propos du film.
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Tout le monde la trouvait très belle,
en effet, elle y compris.
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Et elle s'est très bien acquittée
de ce rôle dans le film.
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Ici, le réalisateur devient
un peu plus lyrique,
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mais sans jamais chercher
à se faire remarquer.