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Une chose intéressante dans le livre
était une grande affiche...
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d'Elizabeth et Harrison et Burton...
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qui était à I'arrière du cinéma Rivoli
à la première.
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J'y ai été, et j'ai adoré le film.
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Ca a donné la couverture
Ç
de The Cleopatra Papers...
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avec deux peintres
sur un échafaudage...
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I'un d'entre eux retouchant le corsage
d'Elizabeth...
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parce qu'il était un peu trop
dêcolletê pour Broadway.
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Mais c'était dans les années 60...
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et de I'eau a coulé sous les ponts,
depuis.
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Bosley Crowther, le critique
du New York Times...
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a beaucoup aimé le film,
et Judith Crist...
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celle du New York Herald Tribune...
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I'a détesté.
La critique était très partagée.
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Je pense que I'affaire Taylor-Burton
n'y était pas pour rien.
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Joe avait beaucoup d'humour.
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Un jour où Richard et Elizabeth
faisaient une scène d'amour...
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Joe a dit: "Coupez",
et ils n'ont pas arrêté.
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Il a finalement dû le crier
pour qu'ils reprennent leurs esprits.
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A ce moment-là aussi, ça n'a jamais
été prouvé, mais...
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quand les choses se sont gâtées...
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qu'Eddie a définitivement
quitté Rome...
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que Richard allait retrouver
Sybil Burton...
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Elizabeth Taylor a fait une
overdose de somnifères...
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La manière dont je I'ai appris
est un coup de fil à 3 h du matin...
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disant: "Ici le B'nai B'rith News,
avez-vous un commentaire...
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sur I'affaire Taylor-Burton,
était-ce une tentative de suicide?"
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Puis j'ai reconnu la voix
de Walter Wanger...
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qui m'appelait juste pour me mettre
au courant.
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Avec tout ce qui se passait,
j'ai dit un jour à Joe.
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"Comment fais-tu pour rester
aussi tranquille?"
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Il m'a dit une grande phrase.
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"Quand tu es dans la cage
aux lions...
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ne montre jamais ta peur
ou ils te mangeront."