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Un titre passionnant.
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C'est symbolique ?
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Elle ne vole pas vraiment
la Tour Eiffel, si ?
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De quoi ça parle ?
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C'est un film d'action
á suspense...
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romantique et mélodramatique.
Et beaucoup de comique, bien sûr.
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Sur fond de thèse sociale.
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Si vous me montriez
ce que vous avez déjá écrit,
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je pourrais juger
de l'importance de la tâche.
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Ma chère petite,
voici les pages quej'ai écrites.
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Une production Alexander Meyerheim.
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La fille
qui a volé la Tour Eiffel.
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Scénario original de Richard Benson.
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D'abord deux pages
de description de plans
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situant l'action,
filmés d'un hélicoptère.
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Un garçon et une fille
se rencontrent.
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Après un peu de baratin,
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du genre ''on fait connaissance'',
dontj'ai le secret,
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les personnages sont inconsciemment
attirés l'un vers l'autre.
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Le public perçoit alors
les prémices d'une idylle.
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Et lá, conflit !
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La musique accentue
l'angoisse profonde
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qui transparaît.
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Et lá, premier effet dramatique.
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Le public béat de surprise
comprend la supercherie.
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Les choses ne sont pas
ce qu'elles semblent. Pas du tout.
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En fait, c'est un renversement
complet de situation
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reposant sur
l'ingénieux et magnifique
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effet... sur l'effet dramatique.
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Stupéfaits par la soudaine
tournure des événements,
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le garçon et la fille comprennent
combien ils se sont mépris.
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A cet instant,
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la musique prend un ton sinistre.
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lls prennent conscience du danger
et la poursuite commence !
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Crissement de pneus, tonneaux,