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Ou alors en studio. C'est une remarquable...
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J'imagine que c'est
comme combattre à la guerre.
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Non pas que ce soit dangereux,
on risque de se faire virer, c'est tout.
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Mais j'estime
que c'est une chose merveilleuse à faire,
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que de raconter une histoire
et s'impliquer dans un projet quatre mois,
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six mois, quelle que soit la durée,
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et enchaîner sur une expérience totalement
différente avec d'autres personnes.
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C'est une manière
très enrichissante de vivre sa vie.
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On est allés à Cuernavaca
en passant par Mexico.
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J'ignore comment Lloyd Anderson
a pu s'en sortir sans faire d'infarctus,
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car c'était le directeur de la production,
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et il y avait beaucoup de pression sur lui.
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La douane pose toujours un problème
quand on tourne à l'étranger.
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Le matériel doit passer rapidement la douane
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pour qu'on tourne dès le lendemain.
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Quelque chose a été perdu,
il s'agissait peut-être des objectifs de Connie,
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et on a dû les acheminer à dos de cheval
pour tourner le lendemain...
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Mais on était prêts le lendemain.
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C'est à Liacapin, dans ce petit village,
qu'on a tourné la scène finale,
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ainsi que d'autres scènes
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tournées avant la scène finale.
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George a filmé tout ce qu'il pouvait
avant de faire la dernière scène.
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Je me rappelle que les mouches
étaient attirées par les lumières.
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On tournait toujours en décor réel, là-bas.
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Dans les maisons en adobe, on ne peut
abattre un mur pour placer une caméra.
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Même avec un équipement moderne...
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On tournait en Panavision
et c'était assez volumineux.
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Parfois,
on filmait une scène avec la caméraArriflex