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Considérez-nous comme des amis.
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Nous vous remettons en état.
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Vous êtes admirablement soigné.
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Nous ne vous voulions pas
de mal.
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Ce n'était pas
le cas de certaines gens.
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Vous savez, je pense,
à qui je fais allusion.
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Ils voulaient se servir de vous
à des fins politiques.
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Votre mort les eût comblés de joie.
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On l'eût imputée au gouvernement.
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Il y a aussi un certain écrivain...
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auteur d'écrits subversifs...
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qui voulait votre peau.
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Il mourait d'envie
de vous poignarder.
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Mais vous êtes à l'abri de ses coups.
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Nous l'avons mis à l'ombre.
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Il a découvert
que vous lui aviez fait du mal.
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Du moins, c'est ce qu'il croyait.
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Il s'était mis cette idée en tête,
que vous étiez responsable...
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de la mort d'un être
qui lui était cher.
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Il était dangereux.
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On l'a coffré
pour sa propre sauvegarde...
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et la vôtre.
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Où est-il, à présent ?
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Dans un lieu
où il ne peut vous faire de mal.
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Nous prenons soin de vos intérêts.
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Nous nous intéressons à vous.
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En partant d'ici,
n'ayez aucun souci.
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On vous trouvera
un emploi bien rétribué.
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Quel emploi et combien ?
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On vous doit un poste intéressant,
à un salaire rémunérateur.
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Non seulement pour le travail...
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et en compensation de ce que
vous estimez avoir enduré...
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mais aussi parce que
vous nous rendez service.
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Je vous rends service ?
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On rend toujours service
à ses amis, n'est-ce pas ?
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Ce gouvernement, on le sait...
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a perdu beaucoup de sa popularité,
à cause de vous.
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On dit que nous perdrons
les prochaines élections.
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La presse voit d'un oeil défavorable...
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ce que nous avons tenté de faire.