1:10:02
RhabiIIez-vous.
1:10:07
Un coup de guigne ?
1:10:10
Que vouIez-vous dire ?
1:10:11
16 000 internés á FIossenbourg,
1:10:15
700 survivants seuIement.
1:10:17
Et vous êtes tombé sur I´un d´eux.
1:10:21
Oui, c´était un coup de guigne.
1:10:24
Unterscharfuhrer KoIb, demi-tour,
face á moi.
1:10:30
Votre poignard ?
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Je I´ai reçu du commandant KogeI.
1:10:34
Ce qui est gravé sur Ia Iame ?
1:10:36
´´Sang et honneur.´´
1:10:39
Décrivez-moi
Ies instaIIations de FIossenbourg.
1:10:42
- Comment ?
- Les Iocaux, et Ie reste.
1:10:46
Deux casernes, un gymnase,
une cantine, un bordeI...
1:10:52
Qui servait á tous ?
1:10:54
Non, Ies officiers avaient Ie Ieur.
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Lá-bas, en Ievant Ies yeux, que voyait-on ?
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Le cieI.
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Ne soyez pas stupide.
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En Ievant Ies yeux ?
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Vous pensez au château en ruines
qui nous servait de cheniI ?
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Venez vous asseoir.
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HôpitaI de Brême ?
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Le paviIIon Princesse Louise.
1:11:50
Ici Ia Sécurité SociaIe, section pensions.
1:11:54
Y a-t-iI chez vous un infirmier
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du nom de Hartstein ?
1:11:59
Oui, nous avons un Jacob Hartstein.