Barry Lyndon
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:45:05
II ne me reste que 100 guinées
à te donner...

:45:08
car j'ai perdu Ie reste aux cartes.
:45:15
Embrasse-moi, car jamais pIus
nous ne nous reverrons.

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C'est bien joli de rêver de guerre glorieuse
dans un fauteuil douillet.

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Autre chose est de la voir de près.
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Après la mort de son ami,
Barry faisant fi de la gloire militaire...

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ne songea plus qu'à échapper au service...
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auquel il était lié pour six ans.
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Les gentlemen parlent
de l'Age de la Chevalerie...

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mais quels rustres, maraudeurs,
tire-laine ils commandent.

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C'est avec ces tristes auxiliaires
que de grands guerriers, des rois...

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ont accompli leur sanglant ouvrage.
:46:49
Barry n'aurait pu tomber
en pire compagnie...

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que celle où il se trouvait.
:46:56
Mais le sort ne le destinait pas
à rester soldat anglais.


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