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Combien pensez-vous tenir
avec des numéros pareils ?
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Que voulez-vous entendre ?
Que je sais ce que je fais ?
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Je n'ai pas la réponse à toutes
vos questions. Ni aux leurs.
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Alors inventez.
Sinon, croyez-moi. . .
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ils vont arrêter les frais.
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Hors du système,
vous ne pouvez rien changer.
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Donnez-leur quelque chose.
Qu'ils s'imaginent vous contrôler.
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Les vrais obstacles à la réforme. . .
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ne sont ni John Deach
ni le sénateur machin.
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Ce sont les réformateurs bidons.
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Ceux qui veulent dire
ce qu'il faut. . .
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figurer dans les journaux
et ne rien faire.
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Vous voyez tout
de votre point de vue.
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Tout ce que vous faites est bien
et les autres ont tort.
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Je ne sais pas ce qui est bien
ou mal. A chacun son idée.
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Je recherche l'efficacité.
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On ne peut rien
contre ces gens-là.
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On ne peut rien appliquer,
c'est du sable mouvant.
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Il faut être plus malin qu'eux.
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J'ai laissé les clefs
à l'intérieur.
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Pour la première fois, l'idée
vient à ces hommes qu'ils n'ont pas. . .
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à tout subir. Qu'ils sont encore
des êtres humains.
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A leur sortie. . .
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ils n'iront peut-être pas violer
la fille de Deach ou tuer son fils.
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Bravo, mais vous déconnez.
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Il ne suffit pas
de faire tourner la prison. . .
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le problème est à l'extérieur.
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A l'extérieur,
ils ne veulent ni vous écouter. . .
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ni me recevoir.
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Alors, à quoi bon ?
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Pourquoi passer vos journées
avec ces gens-là. . .
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et vous laisser ridiculiser ?
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Parce que des fois
on ne perd pas.