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Leonard Zelig et Eudora Fletcher
vécurent heureux.
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Elle continua
de pratiquer la psychanalyse
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tandis que lui donnait quelques
conférences sur ses expériences.
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Les transformations de Zelig
furent de moins en moins fréquentes
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et sa maladie finit
par disparaître complètement.
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Sur son lit de mort, il avoua
qu'il avait eu une bonne vie
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mais qu'il regrettait une chose:
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il venait de commencer à lire Moby Dick
dont il ne connaîtrait jamais la fin.