:38:00
exigent de l'attention.
:38:02
Elles font mine d'en donner,
:38:04
mais c'est un prétexte
pour en réclamer davantage.
:38:07
Et la famille ?
Ça se présente comment ?
:38:10
Mes parents et un oncle,
à Brooklyn.
:38:12
Je n'ai plus les miens.
:38:15
ll ne reste que nous trois,
comme on dit.
:38:18
Je, moi-même et moi.
:38:21
C'est dur,
:38:23
mais au fond,
:38:25
on est tous seuls au monde, non ?
:38:28
Souvent je suis entouré
par ma famille et mes amis, mais...
:38:35
Alors, tu connais la solitude.
:38:38
Je ne vais pas râler,
surtout pour le rayon dames.
:38:41
Les occasions ne manquent pas.
:38:44
Toujours d'attaque.
:38:45
J'aurais des histoires...
mais tu connais déjà.
:38:50
Moi à Kansas City,
en pleine action.
:38:53
Mes assurés sont plus
que des clients.
:38:56
lls apprécient
ce que je leur apporte.
:38:59
Son mari n'était pas là,
:39:01
ils avaient une police
incendie et vie.
:39:03
La prime était en retard...
:39:05
Au fond, je t'envie.
Le train-train quotidien...
:39:08
Tu sais ce qu'on attend.
:39:10
Tu connais la musique.
:39:14
Mon boulot est
de sonder les profondeurs.
:39:17
De ramener quelque chose d'honnête.
:39:22
Je dois te le dire,
la vie de l'esprit...
:39:25
C'est un territoire en friche.
:39:28
Et l'explorer
peut être douloureux.
:39:32
Une douleur
dont peu de gens ont idée.
:39:38
Je t'ennuie.
:39:39
Pas du tout.
C'est passionnant.
:39:43
Un peu pompeux, pour écrire
un film de catch avec Wallace Beery.
:39:47
Là, t'as pas de quoi râler.
Un sacré acteur.
:39:50
Même si mon préféré
reste Jack Oakie.
:39:53
A se tordre !
:39:55
Marrant, marrant.
:39:57
Mais attention :
Beery, le catch,