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y entre quand même.
Et elle lui donne un nounours
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pour qu'il se sente moins seul.
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J'adore la musique ici.
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C'est celle de Javier Alvarez,
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un compositeur mexicain très doué.
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Il a fait un travail fantastique
avec un budget dérisoire
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et il a vraiment donné une âme au film.
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Guillermo Navarro,
le directeur de la photo,
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a travaillé sur beaucoup de films
à Hollywood après celui-ci :
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Desperado, Stuart Little,
Une nuit en enfer, Jackie Brown...
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On a retravaillé ensemble
sur L'échine du diable.
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Ici, Aurora peint sur le mur
sa vision de ce qui se passe.
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On ne voit que quelques éléments :
un soleil,
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un homme qui rentre chez lui.
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Je n'ai pas approfondi les détails
par manque de temps.
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"Ecrire ces lignes
me demande beaucoup defforts."
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On arrive au montage
de la rédaction de la lettre.
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Les pages que vous voyez
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sont couvertes
d'extrait de caca, de merde
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parce que je voulais filmer ce geste :
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il chasse les mouches.
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Il essaie d'écarter les mouches
qui l'entourent.
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On a fait venir un entomologiste
qui est arrivé
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avec un gros bocal
qui contenait environ 20 000 mouches.
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Il a dit que la seule façon
de les attirer,
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c'était de couvrir le papier
d'extrait d'excréments humains.
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Il a ouvert un flacon
et on a senti une odeur atroce.
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Il a versé le liquide sur les pages
et sur les mains de Federico.
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La pièce empestait !
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Ensuite, comme dans un dessin animé
Warner Bros,
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il a ouvert le bocal
et toutes les mouches se sont envolées.