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On ne fait pas toujours
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un home-run.
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Je me tue à Ie Iui dire.
II a toujours été comme ça.
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Bien entendu,
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Nicky ne passaitpas inaperçu.
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Au casino surtout,
où il ne travaillaitpas,
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les gens avaientpigé.
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Moi ? Pourquoi
on m'avait fait venir ?
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Pourempêcherles autres bandes
de nous taxer.
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Comme ces deux enflés.
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lls comptaient nous baiser
de 200 000 billets ?
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C'est ça, espère l
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- Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Je bosse.
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Tu bosses ?
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Ici ?
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Je bosse avec Iui.
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On attend Carmine.
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Ouais, on Ie cherche.
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II était Ià. Je I'ai vu,
avec sa vaIise. II est parti.
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II est parti ?
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II est parti ?
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II a disparu ?
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II est pIus Ià ?
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Carmine a disparu.
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II est peut-être aIIé en face,
ou aiIIeurs...
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Bon, écoute...
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- Bonne chance.
- Merci, Eddy.
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De Ia veine !
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A toi aussi, Jerry.
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IIs n'ont pas signé.
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- Leurs papiers.
- IIs n'en auront pIus besoin.
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Parrespect,
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on les ajuste avertis.
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Tous les autres... gaffe l
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Comme ces péquenots,
qui ne connaissentpas Nicky.
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Ce sont ces tarés
qui donnent le plus de mal.
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Tu les chopes, ils reviennent
avec barbe, perruque et faux nez.
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On les repère
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à leurfaçon de miser.
Comme celui-là. Desjetons lavande
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à 500 l'unité.
Un seul pépin : il devine toujours.
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S'il étaitpas si gourmand,
ça se verrait moins.
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lls exagèrent tous.