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Mets-y Ie hoIà,
ou tu I'as dans I'os.
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T'inquiète, j'ai tout noté Ià-dedans,
putain ! J'ai Ies reçus...
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Ies factures... Tout y est.
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Depuis quand tu parIes comme ça ?
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Si Nance m'embête,
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je Iui arrache Ies yeux,
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à ce taré !
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Encore !
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- J'ai dit : taré.
- Ca suffit !
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Pardon.
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Le pompon l
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Qui aurait cru que le F.B.l.
avait mis l'épicerie surécoute
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pourun vieux meurtre, arrivé Dieu
sait quand et Dieu saitpourquoi ?
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Qui sait s'iI se sucre pas ?
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Ce Nance de merde ramène 2 vaIises.
Pourquoi pas trois ou quatre ?
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Personne Ie voit,
en saIIe des comptes.
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On peut pas surveiIIer notre bIé !
Ces cons de cow-boys !
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II a peut-être des mecs à Iui.
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IIs sont peut-être de mèche,
ces cons !
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Si c'est Green, je Ie bute !
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II me revient pas,
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et j'ai du fIair.
Ce tas de merde !
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Je vais apIatir ces deux saIauds
à coups de peIIe !
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Pardon, maman,
iIs me rendent chèvre.
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- Je suis tout retourné.
- Bon, ça suffit.
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J'en peux pIus !
Partir, revenir...
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CaIme-toi,
tu vas faire un infarctus.
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lls tombent en plein
surces histoires de Vegas,
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de casinos, de valises...
On était bien l
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Si je m'en occupe,
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je vais Ies rétamer !
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Oui, je vais m'en servir,
des peIIes !
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C'est toujours moi qui raque !
Et je vais, et je viens...
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lncroyable l
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WASHlNGTON, D.C.
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Tous les fédéraux du pays avaient
les oreilles grandes ouvertes l
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Faut tout faire soi-même.
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Fais comme tu I'entends.
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Ce Piscano a fait couler
tout le navire.
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Messieurs de Ia commission...
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1980
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Quand le grandjourarriva,
j'étais prêt.
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Et confiant.
ll suffisait quej'expose mon cas.
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Parmi ces documents,