:07:01
- Tout le monde ronfle !
- Pas quand on baise !
:07:04
- Espèce de nase !
- Eva, je faisais la pause !
:07:08
Prends-toi ça !
:07:10
Demain, tu me supplieras de revenir.
C'est rien.
:07:14
- C'est Julius. ll doit du fric ?
- Je l'ai vu.
:07:17
Merde, Pizzaman !
:07:22
- J'arrive !
- Je t'aurai !
:07:25
Cours ! Je vais t'attraper !
:07:28
Cours, petit, cours !
:07:30
Je vais t'attraper !
:07:34
Hé, dégage de là !
:07:42
- Tu me prêtes ta casquette ?
- OK.
:07:45
Merci.
:07:47
Allez.
:07:50
Tu es moins rapide qu'avant, Julius.
:07:53
- Tony, je t'avais pas reconnu.
- Tu es débile ?
:07:56
Combien de fois je dois te le dire ?
Je suis Anthony. C'est lui, Tony.
:08:02
Ah, oui, voilà Tony...
:08:06
Pour moi,
tous les macaronis se ressemblent.
:08:14
- Tu as notre argent ?
- Je l'ai.
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- Merde, je l'avais, y a une minute.
- Cette minute coûte cher.
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Faut pas faire ça, Tony.
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- Qui élèvera mes gosses ?
- T'as pas de gosses.
:08:28
J'en aurai !
:08:29
T'inquiète, Julius...
Personne te regrettera.
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Fais-le.
:08:34
Je ne ferais pas comme ça.
On peut rater le coeur.
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Visez entre les yeux,
ça giclera bien symétrique.
:08:41
- Qu'est-ce que c'est ?
- T'es qui, toi ?
:08:44
Maximillian, un esthète de la mort,
en quelque sorte.
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Mais cet art n'attire plus personne,
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il devient rare d'assister
à une belle estocade.
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T'as deux secondes pour calter,
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ou vous aurez un cercueil pour deux,
Carl Lewis et toi.
:08:57
- J'ai déjà un cercueil perso.
- Allez.