:07:00
Voici trois semaines, des
commandos russes et américains -
:07:06
- ont arrêté le no 1 du Kazakhstan,
le général lvan Radek.
:07:16
Les forces de Radek étaient
dressées contre la démocratie.
:07:22
Son arsenal nucléaire aurait jeté
le monde dans la guerre froide.
:07:29
Mais grâce à un grand dirigeant
mondial, Radek a été emprisonné.
:07:42
Nous honorons ici
le courage de cet homme.
:07:47
Mesdames et messieurs, mon ami,
le président des Etats-Unis.
:08:13
Les morts se souviennent de notre
indifférence, de notre silence.
:08:20
Je suis ici pour être félicité.
J'ai vu les camps de la Croix-Rouge -
:08:28
- débordés par les réfugiés
fuyant l'horreur du Kasakhstan.
:08:35
Je n'ai pas droit aux louanges.
Ni moi, ni personne.
:08:40
- Il va où?
- Ce n'est pas le discours.
:08:45
La vérité c'est que
nous avons agi trop tard.
:08:48
Lorsque notre sécurité nationale
s'est trouvée compromise.
:08:56
Radek a fait massacrer 200 000
personnes. On a regardé ça à la télé.