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Je savais que je n'écrirais pas
le grand roman américain,
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et qu'il y avait autre chose dans la vie
qu'acheter à un dollar
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ce qu'on revend le double.
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J'espérais créer quelque chose
qui serait considéré
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du plus haut niveau.
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Et j'ai compris que...
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je voulais informer le monde...
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et le faire sans fard.
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Plus nous nous connaissons,
plus nous avons de chances de survivre.
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Certes, je voulais y gagner.
Sinon on n'arrive à rien, mais...
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Bontecou ne pense qu'au profit.
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Si nous lui permettons de nous englober,
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nous et d'autres encore après nous,
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pour communiquer,
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nous devrons passer par Bontecou.
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Vous devrez le payer pour ça,
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mais, surtout,
vous devrez être d'accord avec lui.
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lnformer est un privilège
et une responsabilité.
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ll ne faut pas l'exploiter.
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Les Communications Parrish
ont gagné ce privilège.
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Et Bontecou veut l'acheter.
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En tant que président,
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je vous exhorte :
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Ne vendons pas notre société.
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Tout ceci n'encourage pas la discussion.
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Je sais, mais j'ai changé d'avis.
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Libre à toi. Mais vu nos besoins,
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la nécessité de croître, et l'avenir,
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nous rallier à Bontecou est aussi sûr
que la mort et les impôts.
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La mort et les impôts ?
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- Curieux rapprochement.
- C'est une façon de parler.
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- Pour qui ?
- Peu importe.
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Pourquoi l'avoir dit alors ?