:19:03
Il a toujours assuré.
:19:05
D'un seul coup, il s'effondre.
:19:07
Il pleure sans raison,
il arrive pas à dormir. . .
:19:10
à voir ses amis.
:19:12
Il se sent mal à l'aise avec eux.
:19:15
Il a comme envie
de les fuir.
:19:17
Des types qu'il a toujours connus !
:19:20
Et puis, il a comme des crises.
:19:23
Il peut plus respirer,
il a des étourdissements. . .
:19:26
des douleurs à la poitrine.
:19:28
Il a l'impression qu'il va crever.
:19:31
Crises de panique.
:19:32
Vous pensez tous qu'à ça ?
:19:34
Qui a parlé de panique ?
:19:36
Qui a parlé de panique ?
:19:37
De panique, non.
:19:39
D'étourdissements,
de gêne respiratoire. . .
:19:42
d'oppression.
:19:43
Ce type veut savoir ce qu'il peut faire
pour arrêter ça.
:19:51
Je vais hasarder une opinion.
:19:54
Je pense que cet ami. . .
:19:57
c'est vous.
:20:07
T'as du génie, mon pote.
:20:09
T'as du génie.
:20:13
T'as vu dans mon jeu. . .
:20:16
et deviné.
C'est pour ça que t'es toi.
:20:19
T'as du génie, putain !
:20:21
- Non.
- Oh, que si.
:20:22
- Non, vraiment. . .
- Je dis que si !
:20:26
Continue.
:20:28
- Hein ?
- Continue !
:20:30
On peut essayer. . .
:20:32
des médicaments.
:20:34
Me droguer ?
:20:35
Non, je touche pas à ça.
:20:38
Pour prendre le mal à la racine. . .
:20:40
il faut se résoudre à une analyse.
:20:42
Avec toi, par exemple ?
:20:45
Moi ? Non.
Je ne crois pas que. . .
:20:48
J'ai mon quota de patients.
:20:51
Je n'ai plus de place.
Et je pars en congé.
:20:54
Où ça ?
:20:56
- C'est personnel.
- Où ?
:20:58
Au Sheraton Bal Harbour
à Miami Beach.