1:21:02
Je pars directement sur le sol.
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Ce n'est pas inhabituel.
Les Orientaux faisaient ça.
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La peinture que j'utilise le plus
est une peinture liquide brillante.
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Les pinceaux que j'utilise...
ou plutôt les bâtons que j'utilise...
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Le pinceau ne touche, à vrai dire, jamais la toile.
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Il est juste au dessus d'elle.
1:21:32
N'est-ce pas plus difficile à contrôler ?
N'y a-t-il pas une probabilité
1:21:36
qu'il y ait trop de peinture ?
Ou des éclaboussures ? Ou d'autres choses ?
1:21:42
Non, je ne crois pas.
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Avec l'expérience,
1:21:49
il semble possible de contrôler
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dans une large mesure la quantité de peinture.
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Et je n'utilise pas...
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Je n'utilise pas l'accident...
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car je renie l'accident.
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Tu as vu la critique du
"Magazine of Art" ?
1:22:06
C'était une excuse publique,
un retournement de veste magistral.
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Il y a 5 ans, ils décrivaient le travail
de Pollock comme un "gratin de macaronis".
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Et maintenant ils disent :
"Un langage inextricable d'images...
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des motifs magnifiques et subtils,
de forme à l'état pur".
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- Vous avez tous trouvé !
- Oui !
1:22:34
Comment c'était ?
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Salut, Elizabeth.
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C'est bon de te voir...
Tu dois être Jérémy.
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Papa a conduit à 160 Km/h
depuis le départ de L.A.
1:22:43
Comment ça va ?
1:22:45
Et toi ?
1:22:47
Salut Charles.
1:22:48
Salut Jack.
1:22:52
- Comment ça va, Karren ?
- Enchanté de te connaître, Oncle Jackson.