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"On n'a pu citer
qu'une centaine de titres."
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II a dit: "Une centaine!"
II était scié.
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Il a dit: "Je serais content
d'en faire un comme ça!"
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Dans cette partie du générique,
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on a voulu rendre hommage
aux autres musiciens de la Motown.
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Il y avait de grands arrangeurs,
de grands techniciens, des musiciens.
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Certains ont joué un grand rôle,
comme les cuivres.
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On ne voulait pas les oublier,
on a fait une liste des plus importants.
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La Motown a dû avoir
500 ou 600 musiciens
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quand elle était installée à Detroit.
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Il y avait les musiciens
de l'orchestre symphonique,
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les sections rythmiques des débuts,
ceux qui sont arrivés à la fin,
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les cuivres et les instruments à anche.
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On voulait juste les remercier aussi,
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leur dire qu'ils avaient beaucoup
compté, mais ils le savent.
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C'est un générique qui n'en finit pas...
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Je veux aussi remercier l'équipe.
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Mary Petryshyn a été
une collaboratrice très précieuse.
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L'équipe était formidable.
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Une des raisons
de la longueur du générique
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est qu'il y a rarement autant
de chansons dans un film.
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D'ailleurs, ce qui est étonnant,
c'est que la Motown
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ne laisse jamais utiliser
30 chansons d'un coup.
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C'est un des catalogues
les mieux protégés.
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C'est Berry Gordy
qui nous a permis de faire ça.
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Il a ouvert le catalogue
et nous a dit de nous servir.
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On est obligés de mentionner
tout ça au générique.
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30 ou 40 chansons sont créditées.
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On se doit de mentionner la personne
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qui nous a aidés à avoir ces chansons,
c'est le producteur, Sandy Passman.
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Il s'est vraiment démené
pour obtenir les chansons
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et faire venir les Funk Brothers
et les artistes à Detroit.
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On a travaillé
avec une pression énorme
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et Sandy a fait un boulot de titan.