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Hein ? Casse-toi de là !
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Rentre chez toi, pépé.
Ecoute le monsieur.
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Tire-toi ou je te botte le cul !
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Rentre dans ta caisse et casse-toi.
Et toi, retourne-toi !
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Idiots !
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Mon Dieu, Dobel.
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Un seul de ces gars
t'aurait réduit en bouillie.
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Faut toujours que tu insistes ?
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La vie est injuste.
Tu l'as dit toi-même.
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Ces gars ont des muscles,
nous de l'esprit.
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Plus tard, au chaud dans un restau,
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on écrira une satire mordante
qui exposera leurs faiblesses
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et on rigolera bien.
Deux cons.
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Mais entre temps,
ils ont des biceps, eux.
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Où tu vas ?
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Tu te gares ?
Dobel, que fabriques-tu ?
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Pourquoi y retourner ?
Pour quoi faire ? Dobel !
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Oh, mon Dieu. Dobel !
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Dobel, on s'en va ! Mon Dieu.
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Tu es malade mental !
Fou furieux !
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Démarre la voiture.
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Qu'est-ce que tu fous ?
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Mes sentiments étaient mitigés.
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D'un côté j'étais convaincu que Dobel
était fou à lier et psychotique.
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De l'autre, j'avais une sorte
d'admiration étrange pour lui.
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Je me serais éclipsé, tyrannisé.
Vous voyez ?