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Une fille qui a un haut poste,
on prend des nouvelles de sa mère.
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Il suffit qu'elle réponde:
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"Je ne la connais pas,
je suis une enfant trouvée."
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On pense: "Comment une telle
femme peut..." et on s'en va.
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C'est ça, la politique.
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Lui, il fait pareil.
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Quand il voit qu'il est fauché,
c'est superbement filmé...
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Vers le bas, pas de face.
Vers le bas.
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Il s'en va: "J'ai besoin ni de toi
ni de ton argent!
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"En ce qui me concerne..."
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Puis il le rattrape, l'Irlandais...
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Vous voyez le genre.
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On m'a souvent demandé
quel était mon film préféré.
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Sans rentrer dans le détail,
je dis que c'est celui-ci
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car je suis ému à chaque fois
que je le vois, ou que j'en parle.
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Et au-delà de ça,
il n'y a pas une minute dans ce film
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qui n'ait pas un impact émotionnel,
ïune manière ou ïune autre.
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Le plus important, dans ce film,
ce n'est pas...
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et Ford, même s'il ne l'admet pas,
sait que j'ai raison...
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C'est l'illustration
de toutes les émotions
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qu'on peut trouver dans un film.
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Les scènes comiques sont meilleures
que dans bien des comédies.
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Cette femme qui tient cette maison
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mi-bordel mi-bar
dans laquelle ils débarquent.
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Superbe...
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Il faut connaître les bordels,
les piliers de bar,
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les boissons bon marché...
vous êtes trop jeunes.
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Vous traînez...
"Charlie, ça va?"
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"Je bois..."
C'est très important.
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Et elle prend des airs...
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Et quand elle dit son texte...
Il l'a très bien dirigée.
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"Je vais appeler la Police!"