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Continuez.
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Je disais donc, on parlait.
:12:12
Je m'inquiétais pour Mitch...
:12:13
Qu'est-ce qui te tracasse, Mitch ?
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Rien.
:12:17
On s'en va ?C'est mort, ici.
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Il faut rester ici.
:12:21
On ne rencontre personne
en passant de bar en bar.
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- Pardon.
- Ce n'est rien...
:12:29
Pauvre péquenaud !
Fais un peu attention !
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Excusez-le. Il vient du Tennessee.
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Il sort du berceau.
:12:37
- Demande pardon.
- Je me suis excusé.
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- C'est tout ?
- C'était un accident.
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Il n'est pas méchant. C'est un crétin.
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C'était le secret de notre victoire:
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Le garder à l'arrière, ce crétin.
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Si les Boches l'avaient interrogé
sur nos généraux,
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il leur aurait tout dit.
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Sa mère lui interdit de mentir.
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- Tu vas où ?
- A plus tard, Floyd.
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Voyez-vous ça.
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J'ai vexé Leroy.
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Je reviens, Sammy.
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C'est comme ça, Sammy,
quand on recrute plein de sales civils.
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J'ai quitté l'armée de métier
depuis deux semaines, comme Floyd.
:13:16
Je suis bien content !
Ras-le-bol de tous ces sales civils !
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Rien de pire que ces types-là.
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Certains sortent du lot, remarquez.
Mitch, ça va.
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Il était sous mes ordres. Très doué.
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Mais la plupart sont des rustauds.
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Passe-moi mon verre, Floyd.
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Et les vols !
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Jamais vu autant de vols !
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L'un d'eux s'est fait piquer
une montre que sa mère lui avait envoyée.
:13:47
Sa mère !
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La moitié n'ont pas de mère.
Ils ne respectent pas le service.
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C'est révélateur
de ne pas respecter le service.
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Qui ne respecte pas le service
ne respecte pas sa mère.