:41:04
Bonjour, Buck.
Comment est votre russe aujourd'hui ?
:41:07
Ça devrait aller, Monsieur.
:41:10
Bien. On risque d'en avoir besoin.
:41:15
Patience,Jennie.
C'est une longue descente.
:41:27
PrévenezJoe :
pas un mot à la presse.
:41:30
Prévenez le vice-président.
Il saura quoi faire.
:41:35
En fait,
mieux vaut parler à la presse.
:41:39
QueJoe dise que c'est une urgence,
mais pas de quoi s'affoler.
:41:41
Et pas de fuites.
:41:43
La moindre fuite,
le type et son journal sont cuits.
:41:47
Je dirai exactement ça àJoe.
:41:48
Qui est au briefing du Pentagone ?
Il faut les tenir au courant.
:41:52
Le secrétaire à la Défense.
Les chefs d'état-major.
:41:55
Et ce professeur Groeteschele
qu'ils aiment tant.
:41:58
- Blackie est là-bas ?
- Il y a un général Black.
:42:00
C'est Blackie. Content qu'il soit là.
On était à l'université ensemble.
:42:03
Il est intelligent
et dit ce qu'il pense.
:42:05
C'est tout pour le moment.
Au travail.
:42:07
Et dites-leur de mettre la clim.
Il fait une chaleur d'enfer ici.
:42:11
On est très bas.
Peut-être que c'est l'enfer !
:42:18
- Vous savez ce qui se passe ?
- Non, Monsieur.
:42:21
Un de nos Vindicators
a reçu un ordre par erreur.
:42:24
Ils sont partis bombarder Moscou.
Il faut les arrêter.
:42:28
C'est facile à dire.
:42:30
Mais nous avons un peu de temps;
pas beaucoup, un peu, détendez-vous.
:42:35
C'est facile à dire, Monsieur.
:42:38
Si les choses se gâtent...
:42:40
j'utiliserai
la ligne directe avec le Kremlin.
:42:42
Là j'aurai besoin de vous.
Espérons que ça n'ira pas si loin.
:42:46
J'espère aussi, Monsieur.
:42:48
- LegénéralBogan de Omaha, Monsieur.
- Passez-le moi.
:42:52
Le groupe six est à 300 km
du point-sécurité, M. le Président.
:42:56
Nous n'arrivons pas à lesjoindre.
:42:58
- Vous savezd'où vient l'erreur?
- Non, Monsieur, nous l'ignorons.