:06:04
un numéro musical.
:06:07
Nous devions y entrer en douceur...
:06:11
par le son d'une voix qui nous
transportait dans le temps.
:06:16
Cela n'a jamais été une chanson
pure et simple.
:06:22
D'abord un air fredonné,
puis de la musique sur un dialogue.
:06:27
Une phrase, ou un refrain, puis
de la musique ou un fredonnement.
:06:32
Puis une autre phrase
ou un autre refrain...
:06:36
qui soit l'équivalent pour moi
d'une chanson de générique...
:06:40
plutôt que Barbra Streisand
chantant la chanson du film.
:06:44
A la fin, Barbra pourrait chanter
la chanson du générique...
:06:47
sans être interrompue. Elle pourrait
chanter toute la chanson...
:06:53
comme c'est possible
sur le générique de fin.
:07:00
L'essentiel, ce que je voulais faire
en un minimum de temps...
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- comme pour les séquences
de générique de tous mes films -
:07:10
c'était créer une sorte de plate-forme
d'où débutait l'histoire.
:07:17
On présente les personnages en donnant
toutes les informations possibles.
:07:22
L'avantage d'un générique est
qu'il n'est ni littéral ni linéaire.
:07:28
On a la liberté de jouer
avec le temps...
:07:35
et d'aller n'importe où
à n'importe quel moment.
:07:38
On peut donner beaucoup d'informations
et présenter les personnages.
:07:44
Il fallait montrer ici le contraste
entre leurs styles de vie.
:07:49
L'adoration dont il jouit sur
le campus, sa réputation...
:07:55
sa personnalité, dans la grande
tradition du héros américain.