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Quand je m'occupe d'une personne,
M. Lyndon, eIIe est à I'abri.
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On ne Ia discute pIus.
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Mes amis sont du meiIIeur monde.
Non qu'iIs soient Ies pIus vertueux...
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ni Ies moins vertueux
ou Ies pIus inteIIigents,
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ou Ies pIus sots,
Ies pIus riches ou Ies mieux nés.
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Mais, Ies mieux.
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En un mot,
des gens qu'on ne met pas en doute.
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Je ne sais combien de temps ceIa prendra.
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Ce n'est pas une affaire faciIe...
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Mais tout gentIeman ayant un domaine
et 30 000 £ par an...
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devrait être anobIi.
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Et Ià, derrière moi,
se tenait un parfait inconnu.
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Je Ie regarde, et iI me dit...
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''Excusez-moi, pourriez-vous me dire
si Lord Wendover est vivant ou mort ?''
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Stupéfait, je n'ai su que dire.
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Puis, Ia coIère m'a pris,
et je Iui ai dit : ''II est mort.''
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La course à la pairie fut une initiative
des plus malheureuses.
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Barry sacrifia tout pour l'obtenir.
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lci, il prodigua l'argent, là, les diamants.
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ll paya des terres dix fois leur valeur.
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Acquit des tableaux et des objets
de qualité à des prix ruineux.
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ll donnait des fêtes pour ceux
qui soutenaient sa cause...
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qui, en tant que familiers du roi,
étaient en mesure de l'aider.
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Je puis vous le dire : la corruption
allait bon train. Et en haut lieu.
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Si proche de Sa Majesté
que vous seriez ébahis d'apprendre...
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quel grand seigneur condescendit
à recevoir des prêts de Barry.
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Ceci est de Ludovico Cordi,
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un éIève d'AIessandro AIIori.