:20:01
En y allant, on en voit un autre...
:20:03
et quelqu'un dit :
"Allons plutôt là !"
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C'est pas évident
de convaincre tout le monde.
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C'est un restaurant
qu'on n'a jamais essayé.
:20:12
Bob a dit : " D'accord" .
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- Je te déteste !
- Moi aussi, sale merdeux !
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- Je veux voir maman !
- Tu n'as que moi.
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Je veux voir maman !
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Certains passages étaient
directement inspirés de la réalité.
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C'est ce qui met le film
à la portée de tout le monde.
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La plupart des gens cherchent
à faire un film générique.
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Nous, on cherche à faire
un film unique. On se dit :
:20:38
"Si ça nous est arrivé,
c'est aussi arrivé à d'autres."
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C'est une autre façon de travailler,
plus très en vogue aujourd'hui...
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car le montage
est beaucoup plus rapide.
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Mais à l'époque, dans les années 70...
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Ies gens s'intéressaient aux
comportements de leurs semblables.
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Je revois encore Dustin criant :
" Non ! Ne coupez pas !"
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Parce que souvent,
c'est avant un plan ou juste après...
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qu'on est le plus sincère à l'écran...
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et que l'histoire coule
le plus naturellement du monde.
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Il faut dormir, maintenant.
Il est très tard.
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Bonne nuit.
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- Fais de beaux rêves.
- N'aie pas peur des bêtes.
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Je te verrai demain matin.
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- Papa ?
- Oui ?
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Je t'aime.
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Moi aussi, je t'aime.
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L'essentiel du travail
avec Dustin Hoffman...
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...consistait à improviser.
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J'avais moi-même
beaucoup improvisé au théâtre...
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car je faisais partie du groupe Second
City de Paul Sills dans les années 60.
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J'adorais l'improvisation
et ça ne me posait aucun problème.
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Mais j'étais ravie que Benton
soit là pour écrire...