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Walter Smith,
Martha Sterling et Paul Fleming.
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Et à ma droite, Michael Kenyon,
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Olivia G. Williams, Otto Bailey,
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Bea Dorfman, et enfin,
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le père d'Internal Bushings,
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notre maître à tous,
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un homme que l'on ne présente plus...
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Merci, Sammy.
Merci. Je ne pouvais plus attendre.
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C'était un beau discours,
et je suis heureux et fier d'être ici.
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C'est une belle cérémonie que nous avons
consacrée à ce bon vieux Fred Dorfman.
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Qui c'est ?
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Certains ignorent
que Fred a frôlé la mort récemment,
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et il n'a pas eu honte de
m'avouer qu'il avait la syphilis, et...
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Dieu merci, il a vaincu la maladie.
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Je dois dire que c'était
très courageux de sa part...
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d'avouer où il l'avait
attrapée et comment.
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Et regardez-le aujourd'hui.
Fred, tu es rayonnant.
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Le nez est redevenu normal,
le visage est présentable,
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il ne bave plus.
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Et chapeau bas à Marge, son épouse.
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Les trois semaines qu'elle a passées
à la clinique ont été payantes.
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Fini l'alcool et les tranquillisants.
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Mais il y a tant à dire sur Fred,
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et vous le connaissez déjà très bien.
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Sammy, tu ne vas pas chanter,
rassure-moi ?
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Saviez-vous que Fred
a passé une bonne partie de sa vie
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à servir une profession
qui est devenue tristement méconnue ?
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Certains font ce métier ici.
Ils appliquent la loi.
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Fred sera d'accord avec moi :
nous refoulons trop nos sentiments,
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nous n'osons pas tendre la main
pour toucher un gardien de la paix.
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Après tout, ce sont des hommes, non ?
Levez-vous et tapez-leur dans le dos.
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Touchez-les. Allez-y.
Serrez la main de ces hommes en bleu.
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Prenez un flic dans vos bras.
Oui ! Allez-y. Ça fait du bien.