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C'est ca. . .
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Tu comprends ? C'est ça, un chef.
Le sacrifice.
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Les sacrifices qu'il consent
parce qu'il commande par l'exemple. . .
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pas par la peur, ni l'apitoiement.
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A qui vous croyez parler ?
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Ma carrière est à moitié finie,
vous voulez. . .
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me sacrifier pour la gloire
de Cap ? Merde !
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Je suis pas preneur.
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Vous êtes vieux.
Vous avez peur.
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Vous pensez qu'en jouant à ma façon,
je pourrais gagner.
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Et là, vous êtes largué.
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T'es pas un arrière défensif
ou un receveur vite oublié. . .
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ni même Julian Washington.
T'es un putain de quarterback !
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Tu sais ce que ça veut dire ?
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C'est la pièce maîtresse.
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C'est lui qui plonge pour tous.
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Lui que tout le monde regarde d'abord.
Le chef d'une équipe. . .
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qui te soutiendra
quand elle t'aura compris. . .
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qui se cassera les côtes,
le nez, le cou pour toi. . .
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parce qu'ils croiront,
parce que tu les auras convaincus.
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C'est ça, un quarterback.
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Je suis le chef de votre équipe. . .
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jusqu'au retour de Cap.
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Et je retourne sur le banc.
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Vous m'avez rien dit,
jusqu'à la blessure de Cherubini.
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Après, c'était : "Vas-y. . .
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joue comme dans ton quartier.
Tu lances. . .
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ta maman t'appelle pour dîner. "
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Vous faites que me baratiner.
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Je vais rester moi-même,
Beamen le Fumant.
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Dans le temps qui me reste, je jouerai
à ma facon. Pour faire monter ma cote.
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Quand vous voudrez me lâcher,
m'échanger, peu importe. . .
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je vaudrai dix fois plus
qu'avant de venir ici.
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Tu es très, très jeune.
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Et très, très bête.