:42:00
II faut que je te dise queIque chose.
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EIIiot, c'est incroyabIe !
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Ca ne vaut pas I'originaI.
:42:11
Ton sourire et. . .
:42:13
tes joues roses, ta voix
fIottant dans Ia brise du soir. . .
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Comparé à toi,
ce coucher de soIeiI. . .
:42:25
Quand va-t-iI se coucher ?
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- On devrait partir.
- Attends !
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J'ai tant de choses à te dire,
mais je ne trouve pas Ies mots.
:42:33
J'ai une idée. Je voudrais. . .
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improviser un sonnet sur ta cheveIure.
:42:40
Ô, toi visage radieux. . .
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Excusez-moi.
:42:49
Puis-je vous demander d'aIIer
chahuter à un autre endroit ?
:42:54
Non.
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PIutôt que d'entrer en confIit. . .
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pourquoi ne pas s'asseoir ensembIe. . .
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pour manger une saIade niçoise
et diaIoguer ?
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J'ai I'intuition que. . .
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D'accord, Ies gars. . .
:43:18
Je vais devoir vous demander de
respecter Ie moment que je partage. . .
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avec mon amie,
car c'est Ia céIébration. . .
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d'un amour et d'une tendresse. . .
:43:27
et d'une communion spiritueIIe
et émotionneIIe uniques.
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Je t'offre une bière ?
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D'accord.
:43:35
Je pensais passer un moment
seuI avec toi.
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Rien qu'une bière.
Je reviens vite.
:43:40
Je suis à quarante minutes d'ici.
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Ou est ta voiture ?
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- C'est une camionnette.
- Super.
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AIison ! Je respecte ton originaIité,
ton individuaIité. . .
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et ta personne. Si tu veux partir
avec tes nouveaux amis. . .
:43:54
je ne t'en empêcherai pas.
:43:55
Je savais que tu comprendrais.
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Non, attends !
N'y va pas !
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C'est insupportabIe.
Pourquoi ne restes-tu pas ?