Charlie and the Chocolate Factory
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On visualise le fait
qu'on travaille avec une seule personne,

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mais en essayant d'en imaginer des tas.
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C'est le plus difficile.
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Ce n'était pas un problème, au début,
de n'avoir qu'un personnage.

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Ça l'est devenu quand on a réalisé
l'étendue des danses.

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On a filmé Deep Roy
dans des décors surdimensionnés.

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On a fait plein de motion control
sur lui pour le dupliquer

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et pour le mettre dans les plans
dans différentes positions.

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Vous imaginez la difficulté
de le dupliquer autant de fois.

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Dans certains plans,
on a 56 ou 57 répliques

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de Deep Roy pour pouvoir
réaliser le plan.

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PRODUCTRICE EFFETS VISUELS
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Vous imaginez combien
il a fallu filmer.

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Il avait énormément de travail.
Il a vraiment fait...

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Chaque fois que vous le voyez,
c'est quelque chose qu'il a fait.

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Deep, un tout petit peu plus
à droite.

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Par exemple, si on avait un plan
avec une douzaine de Deep,

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et que c'était un mouvement de caméra,
on prenait ce morceau de chanson

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et Deep jouait
chacun des personnages

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à chaque endroit, l'un après l'autre.
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Mais on devait ensuite aller
entre chaque prise

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pour vérifier que la chanson était synchro,
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ainsi que les mouvements
de la dernière prise.

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Donc, en plus du play-back,
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il y avait la synchro
des mouvements physiques.

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Donc, c'était un énorme travail.
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Comme j'ai dit, on avait souvent
60 à 70 prises par plan.


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