Charlie and the Chocolate Factory
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de Deep Roy pour pouvoir
réaliser le plan.

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PRODUCTRICE EFFETS VISUELS
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Vous imaginez combien
il a fallu filmer.

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Il avait énormément de travail.
Il a vraiment fait...

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Chaque fois que vous le voyez,
c'est quelque chose qu'il a fait.

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Deep, un tout petit peu plus
à droite.

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Par exemple, si on avait un plan
avec une douzaine de Deep,

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et que c'était un mouvement de caméra,
on prenait ce morceau de chanson

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et Deep jouait
chacun des personnages

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à chaque endroit, l'un après l'autre.
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Mais on devait ensuite aller
entre chaque prise

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pour vérifier que la chanson était synchro,
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ainsi que les mouvements
de la dernière prise.

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Donc, en plus du play-back,
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il y avait la synchro
des mouvements physiques.

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Donc, c'était un énorme travail.
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Comme j'ai dit, on avait souvent
60 à 70 prises par plan.

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C'était dur, oui.
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On en faisait d'abord une.
Puis deux, trois,

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dix, douze, treize. Mais c'était cool.
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Quand on a parlé du projet à Tim,
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on savait qu'on pouvait
toujours utiliser le compositing

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pour mettre les vrais Oompas
dans le bateau.

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Mais c'était beaucoup mieux
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de pouvoir faire des Oompas
en animatronique à la bonne taille.

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SUPERVISEUR
ANIMATRONIQUE & PROTHÈSES

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On a construit les animatroniques
des Oompas grandeur nature,

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à savoir 75 centimètres.
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Ça nous a permis de tourner
directement avec de vrais acteurs.

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La puissance pour changer
l'énergie en matière

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équivaudrait à 9 bombes atomiques.
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Marmonneur!
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Sérieux...
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je ne comprends rien à ce que tu dis.

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