:15:02
Dans les meilleurs restaurants,
on plie les toasts.
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Il y a plus à manger.
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Dans la scène des toasts, le jeu
de Dustin Hoffman est incroyable.
:15:15
On a répété...
:15:16
mais quand ils se sont mis à filmer,
ça n'avait plus rien à voir.
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Je crois que l'histoire de plier
le pain et de le tremper...
:15:24
c'était improvisé.
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J'ai oublié si les toasts brûlés,
c'était improvisé...
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ou si c'était dans le scénario
ou dans le bouquin.
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On trouvait toujours le moyen
d'improviser sur le moment.
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Papa, ça brûle !
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- Quoi ?
- Ça brûle !
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Et merde ! Elle fait chier !
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Merde.
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Quand il fait tomber la poêle...
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il est vraiment dans le vif du sujet.
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C'est comme si tout avait explosé.
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On est vraiment au coeur du problème.
Quel travail formidable !
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Justin arrivait et on lui expliquait
ce qu'on allait faire.
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La scripte, Renata,
lisait les répliques avec lui.
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Puis, on s'asseyait et on répétait.
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Enfin, il jouait la scène avec Dustin.
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Un jour, comme on s'appréciait
beaucoup avec Justin, je lui ai dit :
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"Justin, tu ne parles pas
comme ça, en vrai.
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On dirait un de ces gamins
qui jouent dans les sitcoms."
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Du genre : " D'accord, papa !"
ou quelque chose dans ce goût-là.
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Il m'a regardé.
Il était très futé.
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Je lui ait dit :
"Tu sais, tu es très mûr.
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Ton jeu est vrai." Il avait réussi
à incarner un autre enfant.
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Je crois que Bob a dit aux parents,
qui furent très surpris...
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de l'empêcher de
mémoriser ses répliques.
:16:52
Ou de se préparer.
Juste de l'emmener...
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et qu'on se chargerait du reste.