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Maycomb étaitune ville fatiguée...
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même en 1932,quandje la connus.
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Je nesaispaspourquoi,mais ily faisaitplus chaud.
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Les cols durs deshommesse fanaient dès9h du matin.
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Les damesprenaient un bain avant midi,après leursieste de3 h...
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et étaient à la tombée de la nuitcomme despetitsgâteaux...
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glacés desueuret de talc doux.
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Unjourdurait24heures,mais ilsemblaitplus long.
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Nuln'étaitpressécariln'yavaitnullepart où aller...
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etpasd'argentavec lequelacheter...
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bien qu'ileûtparu depuispeuque le comtéde Maycomb...
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ne devait avoirpeurde riensinon de lapeurelle-même.
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Cet été-là,j'avais sixans.
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- Bonjour, M. Cunningham.- Bonjour, mademoiselle.
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Mon papa s'habille.Vous voulez queje l'appelle ?
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- Non.Je ne veux pas déranger.- Mais vous ne dérangez pas.
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Il sera content de vous voir !Atticus !
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M. Cunningham est là.
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- Bonjour, Walter.- Bonjour, M. Finch.
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Je voulais surtout pasvous déranger.
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Je vous ai apporté ces noixpour ma procédure de succession.
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Merci. Les navettes de la semainedernière étaient délicieuses.
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- Eh bien, bonnejournée.- Bonnejournée.
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Scout, je croisque, peut-être...
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Ia prochaine fois qu'il vient,il vaut mieux ne pas m'appeler.
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-J'ai cru que tu voudrais le remercier.- Tout à fait.
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Je crois que ça le gênequ'on le remercie.
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Pourquoiil t'apporte tout ça ?
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Il me paie un travail juridiquequej'ai fait pour lui.
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- Pourquoi il te paie comme ça ?- Il ne peut pas autrement.
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Il n'a pas d'argent.
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- Il est pauvre ?- Oui.
:04:57
- Et nous, on est pauvres ?- Oui.
aperçu.